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La Peinture allemande - cover

La Peinture allemande

Klaus H. Carl

Publisher: Parkstone International

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Summary

La culture et l’art allemand sont issus d’une tradition ancienne, bien que le pays ne se soit unifié qu’en 1871. Étudier la peinture allemande demande donc de la comprendre selon une échelle différente, plus large que les limites géographiques actuelles. Du Moyen Âge à la Nouvelle Objectivité du  XXe siècle, les artistes marquants de l’histoire de l’art allemand sont présentés : Albrecht Dürer, le romantique Caspar David Friedrich ou encore l’expressionniste Otto Dix. L’art allemand, original dans ses thématiques, est toujours à la recherche d’harmonie, tout en demeurant curieux et incisif.
Available since: 09/15/2015.
Print length: 331 pages.

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    Georgia adorait les cours de nature morte dispensés par le fringant William Merritt Chase, un des professeurs qui l’influencèrent durant cette période. Elle fréquenta la galerie 291 et y rencontra son futur mari, le photographe, Alfred Stieglitz. Durant l’été 1912, elle suivit des cours à l’université de Virginie auprès d’Alon Bement qui recourait à une méthode révolutionnaire pour enseigner l’art, imaginée par Arthur Wesley Dow. Les élèves ne copiaient pas mécaniquement la nature, mais se voyaient enseigner les principes du dessin basé sur les formes géométriques. Ils s’exerçaient à diviser un carré, dessiner au coeur d’un cercle ou encore placer un rectangle autour d’un dessin, puis organiser la composition en l’agençant par l’ajout ou l’élimination d’éléments. Georgia trouva que cette méthode conférait une structure à l’art et l’aidait à comprendre les bases de l’abstraction. Au début de l’année 1925, Stieglitz exposa les artistes encouragés à l’époque du 291. C’est au cours de cette exposition que les peintures géantes de fleurs de Georgia O’Keeffe, destinées à faire prendre conscience de la nature, furent présentées pour la première fois. Les critiques acclamèrent cette nouvelle manière de voir. Elle détestait cependant les connotations sexuelles que les gens associaient à ses toiles, en particulier à ce moment des années 1920 où les théories freudiennes commençaient à ressembler à ce que nous appellerions aujourd’hui de la «psychologie de bazar ».
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