Join us on a literary world trip!
Add this book to bookshelf
Grey
Write a new comment Default profile 50px
Grey
Subscribe to read the full book or read the first pages for free!
All characters reduced
L'art de la guerre - cover

L'art de la guerre

Sun Tzu, Victoria Charles

Publisher: Parkstone International

  • 0
  • 0
  • 0

Summary

Au cours de l'histoire, nombreuses sont les guerres qui changèrent le paysage politique et culturel du monde. Source de bouleversements, de destructions et de violences, elles contribuèrent néanmoins à l'évolution de la création artistique. En effet, malgré les événements traumatisants qu'elles engendrent, les guerres inspirent les artistes depuis toujours. Ces derniers immortalisent ces moments dramatiques en des oeuvres qui sont autant de précieux témoignages pour toutes les générations.

Ce livre offre au lecteur les illustrations des batailles les plus connues et autres scènes de guerre. Composé de textes d'écrivains célèbres, cet ouvrage s'accompagne, en outre, du texte de référence de Sun Tzu, stratège militaire légendaire de Chine. De l'antique Gaulois agonisant au Guernica de Picasso, ce livre propose un panorama captivant des oeuvres inspirées par les guerres qui façonnèrent l'humanité.
Available since: 09/15/2015.
Print length: 363 pages.

Other books that might interest you

  • Objectif Katahdin - cover

    Objectif Katahdin

    Daniel Léger

    • 0
    • 0
    • 0
    Objectif Katahdin retrace avec beaucoup de sensibilité le périple de l'auteur sur le sentier des Appalaches qu’il a entrepris seul alors qu’il était âgé de 20 ans. Il avait comme bagage un sac à dos de 40 litres, une tente monoplace et une petite guitare empruntée. C’est un récit captivant qui témoigne de la force et des faiblesses de l’humanité, mais surtout comment tout peut devenir possible pourvu qu’on soit têtu et déterminé.
    Show book
  • Valentin Serov - cover

    Valentin Serov

    Dmitri V. Sarabianov

    • 0
    • 0
    • 0
    Valentin Serov (Saint Pétersbourg 1865 – Moscou 1911)
    Parmi les «jeunes Ambulants » qui rejoignirent le Monde de l’Art, le portraitiste le plus brillant fut sans conteste Valentin Serov. Comme beaucoup de ses contemporains, il affectionnait la peinture de plein air, et certains de ses portraits les plus attrayants – Jeune Fille aux pêches, Fillette dans la Lumière du Soleil ou En Été – doivent leur côté naturel au décor ou aux jeux d’ombres et de lumière. En réalité, Serov considérait ces oeuvres comme des études plutôt que des portraits, ce qui explique que le titre ne mentionne pas le nom du modèle. On sait cependant que Jeune Fille aux pêches est Vera, la fille du mécène Mamontov. Et dans En Été, c’est l’épouse de Serov elle-même qui est représentée. Serov fut un enfant précoce. Il commença à montrer des dispositions artistiques dès l’âge de six ans. A neuf ans, il fut envoyé à Paris chez Répine, qui devint son professeur et son mentor. Quand Répine revint en Russie, il emmena l’enfant avec lui et le fit travailler comme apprenti dans son atelier moscovite. Finalement, le maître l’envoya chez un autre professeur, Pavel Chistiakov. Cet homme, qui forma nombre de peintres du Monde de l’Art, allait d’ailleurs devenir un de ses amis intimes. Etant donné la longueur de la carrière de Serov, on ne s’étonnera guère de la diversité de son style et de ses thèmes de prédilection : des peintures mondaines de la haute société (avec le style grandiose de leurs costumes) aux portraits tout en finesse de jeunes enfants. Radicalement différente de toutes ses oeuvres, la fameuse étude de nu de la danseuse Ida Rubinstein, peinte sur toile à la détrempe et au fusain, date de la fin de sa vie. Les premiers tableaux de Serov rappellent le style des impressionnistes français.
    Show book
  • Fra Angelico - cover

    Fra Angelico

    Stephan Beissel

    • 0
    • 0
    • 0
    Fra Angelico (Fra Giovanni da Fiesole) (Vicchio di Mugello,1387 – Rome,1455)
    Isolé du monde par les murs d'un cloître, ce moine peintre, appartenant à l'ordre des dominicains, voua son existence à la peinture religieuse.
    On sait très peu de choses sur le début de sa vie, mis à part qu'il était né à Vicchio, dans la vaste et fertile vallée du Mugello, non loin de Florence, que son nom était Guido di Pietro, et qu'il passa sa jeunesse à Florence, sans doute dans une sorte de bottega (atelier), car, à vingt ans, il fut reconnu comme peintre.
    En 1418, Fra Angelico entra dans un couvent dominicain de Fiesole en compagnie de son frère. Ils furent accueillis par les
    moines et, après une année de noviciat, promus au rang de frères, Guido prenant le nom que lui connaîtra la postérité, Fra Giovanni da Fiesole ; en réalité, le surnom d' «Angelico » (l'ange) ou «Il Beato » (le bienheureux) lui fut attribué après sa mort. Dorénavant, il incarna l'exemple d'un homme possédant une double personnalité : c'était à la fois un peintre et un moine dévoué. Ses thèmes étaient toujours religieux et empreints d'une profonde piété. Pourtant, la dévotion du moine n'était pas plus grande que la concentration de l'artiste. Bien qu'il vécût reclus derrière les murs du monastère, il entretint  ontinuellement le contact avec les mouvements artistiques de son temps et évolua  onstamment en tant que peintre. Ses premiers travaux montrent qu'il s'était formé auprès des enlumineurs, héritiers de la tradition byzantine, et qu'il avait été marqué par la simplicité du sentiment religieux de Giotto. Egalement influencé par Lorenzo Monaco et l'école siennoise, il peignit sous le patronage de Côme de Médicis. Puis il découvrit le brillant groupe de sculpteurs et d'architectes qui enrichissaient Florence de leur génie. Ghiberti exécutait alors ses bronzes destinés à orner les portes du baptistère, Donatello, sa célèbre statue de Saint Georges et la ronde des enfants dansant autour de la
    galerie de l'orgue du dôme ; et Luca della Robbia, aussi, était à l'oeuvre élaborant sa frise d'enfants, chantant, dansant et jouant d'instruments. Par ailleurs, Masaccio avait révélé la dignité de la forme dans la peinture. Grâce à ces artistes, la beauté du corps humain, sa vie et son mouvement, se manifestaient aux yeux des Florentins et des autres cités. Quant à Fra Angelico, il se caractérise par son enthousiasme et le sentiment accrû de vie et de mouvement dont il sut parer ses personnages.
    Show book
  • L'Art byzantin - cover

    L'Art byzantin

    Charles Bayet

    • 0
    • 0
    • 0
    Pendant plus d’un millénaire, depuis sa création en 330 jusqu’à sa chute en 1453, l’Empire byzantin fut le berceau d’une effervescence artistique que l’on commence seulement à redécouvrir. Riches de l’héritage des cultures romaine, orientale ou chrétienne, les artistes byzantins élaborèrent une tradition architecturale et picturale, empreinte de symbolisme, dont l’influence dépassa largement les frontières de l’Empire. Ainsi, l’Italie, l’Afrique du Nord et le Proche-Orient conservent-ils les vestiges de cet art raffiné, mystique et lumineux.
    La magnificence des palais, des églises, des peintures, des émaux, des céramiques ou encore des mosaïques garantit par ailleurs, à cet art, son rayonnement et son intemporalité.
    Show book
  • Les pensées pourrîtes - Vous ne rirez plus jamais comme avant! - Saison UNE - cover

    Les pensées pourrîtes - Vous ne...

    Maurice tte

    • 0
    • 0
    • 0
    Les pensées pourrîtes sont nées au fil du temps, de l’observation désespérée de nos contemporains persuadés d’être des génies, ce qui qui s’avère peu fréquent dans la réalité. Le premier risque que vous prenez en lisant ces pensées est de vous reconnaître et d’en rire jaune comme la couleur de vos yeux, un lendemain de nuit chaude. Sachez-le, vous avez servi de modèle à la compréhension acide d’une vérité souvent ingrate. Mais c’est la vôtre. Attention cependant, derrière l’humour peuvent se cacher des idées qui pourraient vous amener à réfléchir sur vous, ce dont vous n’avez peut-être pas l’habitude. Le second risque est de vous plonger dans le même désespoir sans fin de l’auteur, qu’une fréquentation assidue des humains a rendu conscient que le pire existe. Lisez, mais soyez forte et fort, les Pensées Pourrîtes sont un puissant anti-langue-de-bois complètement anti-tout : anti féministe, anti politicien écolo, anti-influenceurs, anti-haricots-verts et anti-vidéos de chats.
    Show book
  • Hiroshige et œuvres d'art - cover

    Hiroshige et œuvres d'art

    Mikhail Uspensky

    • 0
    • 0
    • 0
    Si le ravissant « Pays du soleil levant » devait, lors d’une de ces éruptions  volcaniques qui le menacent d’extinction, sombrer à jamais dans les profondeurs de l’océan, il continuerait de vivre pour nous à travers le trait magique d’Utagawa Hiroshige.  En contemplant ses paysages, les ailes légères de l’imagination nous portent vers un pays d’averses et de crépuscules – une scène féerique, où l’arc-en-ciel tombe sur la terre, se brisant en un millier de prismes – où les eaux s’écoulent doucement vers des horizons parsemés de narcisses ou bleu azur. Dernier grand maître de l’art de l’Ukiyo-e, Hiroshige a su, à travers ses  descriptions minutieuses des grands sites japonais, exploiter les richesses des  coloris pour nous offrir une vision éclatante de ce Japon légendaire.
    Show book