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  Faire de la thérapie, c'est aider une personne à aller mieux, mais sans forcément modifier ou faire évoluer ce qu'elle est en essence. 
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  L'ESSENCE DE SOI-MÊME 
  "La psychothérapie touche notre Inconscient. Elle parle le langage des rêves, car notre esprit profond ne comprend pas les concepts rationnels de notre esprit logique. Faire de la psychothérapie, c'est voyager dans un monde de symboles et de poésie, d'analogies et de résonances subtiles, c'est comprendre l'Inconscient, les mythes qui le fondent et les archétypes qui l'expriment. Alors, le miracle du changement devient possible." 
  PSYCHOTHERAPIE vous parle de vous, de votre âme profonde et de ses multiples aspects : sage ou enfant intérieur, critique, masculin ou féminin. C'est un livre pour vous-même, votre couple et votre vie sociale - ou pour vos patients, si vous êtes déjà psychothérapeute. 
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  Et même le grand consolateur, le Saint Esprit, peut faire entendre sa voix au croyantdéçu,découragé etfatigué 
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  Reconnaître sa cage 
    
    
  "Le secret du bonheur est la liberté... Et le secret de la liberté, c'est le courage." - Thucydide. 
    
  La plupart d'entre vous qui lisent ce guide mènent probablement une vie libre. Vous n'êtes pas piégé dans une cage ou une cellule physique. Mais si vous vous sentez à l'étroit, si vous avez l'impression que les murs se referment autour de vous et que vous ne pouvez pas respirer, alors vous êtes très probablement enfermé dans une cage ou une prison mentale. Votre cage mentale est exactement ce que dit l'étiquette : tout est dans votre esprit. Votre esprit piège vos pensées et votre corps physique de l'intérieur. Il vous empoisonne littéralement de l'intérieur. La vérité est que, même si vous vivez dans une véritable cage, vous pouvez toujours être heureux et libre. Comment ? En vous libérant des confins étouffants de votre esprit, de la négativité, des divers facteurs de stress dans votre vie. 
    
  Déverrouiller la cage 
    
  La première chose que vous devez faire pour atteindre la liberté est de déverrouiller votre cage. Mais c'est beaucoup plus difficile qu'il n'y paraît. Tout d'abord, est-ce que tu sais au moins où est la clé? Vous pouvez essayer de le chercher dans votre environnement, dans vos relations, sur votre lieu de travail, partout en fait, mais vous ne le trouverez pas là. Au lieu de cela, vous devez regarder en vous-même. Vous détenez la clé de votre liberté. Vous pouvez sortir de votre cage quand vous le voulez, mais pour une raison que vous seul connaissez, vous ne voulez pas ou vous ne pouvez pas. Vous vous enfermez à l'intérieur. Est-ce parce que vous vous y sentez plus en sécurité ? Pensez-vous que les grands méchants loups ou les dures réalités de la vie vont s'en prendre à vous dès que vous sortirez de votre cage?

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  Pilotez Votre Propre Destin

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  Les bases de la prise en charge  
    
    
  Vous ne pouvez pas prendre votre vie en main si vous ne savez pas ce qu'est vraiment la prise en main. Dans ce premier chapitre, vous découvrirez les principes de base liés à la prise de contrôle et pourquoi c'est si important. 
    
  Commencez à prendre le contrôle de votre vie 
    
  Vous regardez la vie des gens qui vous entourent et vous vous demandez comment ils ont réussi à avoir le genre de vie qu'ils ont alors que la vôtre semble un peu décevante ? Si c'est le cas, il est grand temps que vous preniez les choses en main, que vous commenciez à faire des changements et que vous vous preniez en main. De nombreuses personnes font le même travail tous les jours et en sont tout à fait satisfaites. Cependant, si vous ne pouvez pas vous en empêcher et que vous devez penser que vous laissez votre potentiel se gaspiller et que vous avez ce désir subconscient de plus d'excitation et d'action, vous devez prendre le contrôle de votre situation. 
    
  Si vous savez que vous voulez être dans une situation totalement différente, vous devrez prendre les choses en main et travailler à des objectifs plus ambitieux. Si c'est le genre de réflexion que vous avez en ce moment, il est important de ne pas vous laisser abattre par la situation. 

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  Comment les riches pensent-ils?...

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  Pourquoi la plupart des gens ne sont-ils pas riches?  
    
    
  Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les gens ne sont pas riches. Essayez de penser à vous et de trouver le facteur qui vous affecte, puis commencez à faire des changements. Voici quelques-uns des facteurs qui empêchent les gens de devenir riches : 
    
  1.   Croyances erronées ou complaisantes 
    
  Le premier facteur qui peut expliquer pourquoi la plupart des gens ne sont pas riches est constitué par les croyances erronées sur la richesse et la collusion entre les croyances négatives et positives. 
    
  Fondamentalement, le cerveau humain essaie toujours de trouver du plaisir et d'éviter la souffrance. Si quelque chose est lié à la souffrance, nous aurons tendance à l'éviter. En revanche, si quelque chose est fortement lié au plaisir, nous nous en approcherons. 
    
  Si quelque chose est associé au plaisir et à la difficulté, notre cerveau sera confus ou neutre. 
    
  Les croyances sont comme des aimants. Si la croyance positive se mélange avec les négatives, il n'y a plus de "positif polaire" ou de "négatif polaire". Nos esprits seront neutres ou confus comme du métal normal.

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  Ce "roman de moeurs" à thèse présente une jeune femme indépendante menant une vie sexuelle très libre. Cet ouvrage a fait scandale (il a valu à son auteur de se voir retirer la Légion d'Honneur), mais a été un énorme succès de librairie.  Extrait du livre:  "– Il faut que tu saches cependant, dit Mme Lerbier décidée à avoir le dernier mot, qu'avec tes façons de parler et d'agir au gré de tes seules inspirations, tu passes pour une toquée. Au fond, tu es un garçon manqué ! Regarde tes amies, Ginette ou Michelle. Voilà de vraies jeunes filles. Michelle surtout !  Monique reposa son verre. Elle avait failli s'étrangler. Et profitant de ce que la femme de chambre sortait:  – Leur mari n'en aura pas l'étrenne !  Mme Lerbier gloussa, scandalisée. Elle eut voulu que Monique, tout en n'étant pas absolument une oie blanche, gardât jusqu'au mariage cette ignorance décente que discrètement la mère, à la veille du grand soir, éclaire... Mais, sous prétexte d'éducation scientifique, cette franchise qui ne reculait devant rien, même pas, au besoin, devant l'appellation, par leur nom, des organes les plus secrets !... Non !... Quoi qu'en pensât tante Sylvestre, certains chapitres de l'histoire naturelle devaient pour les jeunes filles se borner au règne végétal. Aux précisions anatomiques Mme Lerbier préférait, « en dépit de son pseudo-danger », l'ombre dormante, la pudeur, – c'est cela ! – « la pudeur du mystère ! » La pudeur, quand elle avait lâché ce grand mot, elle avait tout dit.  – Tu me fais bien souffrir, murmura-t-elle.  – Il faut en prendre ton parti, maman. Depuis la guerre nous sommes toutes devenues, plus ou moins, des garçonnes !"

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