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Tasmanie - l’île aux trésors d’Australie - cover

Tasmanie - l’île aux trésors d’Australie

Cristina Rebiere, Olivier Rebiere

Editorial: Cristina & Olivier Rebiere

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Sinopsis

Nous vous souhaitons la bienvenue dans votre guide Voyage Experience: "Tasmanie – l’île aux trésors d’Australie" qui, nous l'espérons, vous aidera à découvrir cette magnifique île australienne qui nous a totalement bouleversés par sa beauté. Encore assez peu fréquentée par les touristes étrangers, cette fabuleuse île abrite une nature spectaculaire, des paysages à couper le souffle, une faune omniprésente qui fera la joie des petits et grands et les émerveillera : kangourous, wallabies, pademelons, wombats, cygnes noirs, kookaburras, cacatoès, perruches, loriquets et oiseaux multicolores.
 
Mais la Tasmanie  regorge de trésors bien plus nombreux encore : superbes plages de sable blanc ou doré, vertigineuses falaises plongeant dans la mer, magnifiques parcs nationaux aménagés avec des randonnées spectaculaires, forêts d’eucalyptus et arbres à thé aux senteurs enivrantes, paysages variés aux couleurs chatoyantes couvrant presque toute la palette chromatique. Les mots peinent à présenter la beauté de cette île que nous avons parcourue pendant presqu’un mois la première fois.
 
Nous y sommes revenus début 2024 pour continuer sa découverte et profiter de sa beauté, son air sauvage et paisible, des gens chaleureux et d’une nature merveilleuse ! Pendant plus d’un mois nous avons continué à découvrir d’autres endroits, tout aussi époustouflants, que nous avons ajoutés à cette nouvelle version.
Disponible desde: 21/04/2023.
Longitud de impresión: 80 páginas.

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    Georgia adorait les cours de nature morte dispensés par le fringant William Merritt Chase, un des professeurs qui l’influencèrent durant cette période. Elle fréquenta la galerie 291 et y rencontra son futur mari, le photographe, Alfred Stieglitz. Durant l’été 1912, elle suivit des cours à l’université de Virginie auprès d’Alon Bement qui recourait à une méthode révolutionnaire pour enseigner l’art, imaginée par Arthur Wesley Dow. Les élèves ne copiaient pas mécaniquement la nature, mais se voyaient enseigner les principes du dessin basé sur les formes géométriques. Ils s’exerçaient à diviser un carré, dessiner au coeur d’un cercle ou encore placer un rectangle autour d’un dessin, puis organiser la composition en l’agençant par l’ajout ou l’élimination d’éléments. Georgia trouva que cette méthode conférait une structure à l’art et l’aidait à comprendre les bases de l’abstraction. Au début de l’année 1925, Stieglitz exposa les artistes encouragés à l’époque du 291. C’est au cours de cette exposition que les peintures géantes de fleurs de Georgia O’Keeffe, destinées à faire prendre conscience de la nature, furent présentées pour la première fois. Les critiques acclamèrent cette nouvelle manière de voir. Elle détestait cependant les connotations sexuelles que les gens associaient à ses toiles, en particulier à ce moment des années 1920 où les théories freudiennes commençaient à ressembler à ce que nous appellerions aujourd’hui de la «psychologie de bazar ».
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