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  Patrick Baude

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  Né en 1872, Aubrey Beardsley fut, avec Oscar Wilde, une figure emblématique de la décadence qui marqua la fin du règne de la reine Victoria. Largement autodidacte, Beardsley témoigne d’abord dans ses dessins de l’influence des Préraphaélites, comme Burne-Jones et Rossetti. Par la suite, il adopte un style plus radical et novateur, en illustrant Le Morte d'Arthur de Sir Thomas Malory et participe à la création de la revue The Yellow Book.
  Mais c’est à travers ses dessins sombres et érotiques, notamment pour Salomé d’Oscar Wilde, qu’il évoqua au mieux l’atmosphère trouble de l’époque. Atteint de tuberculose, Beardsley connut une mort prématurée à l’âge de 25 ans. Il laissa derrière lui de nombreuses illustrations, qui eurent une grande influence sur les artistes de l’Art Nouveau.
  Servi par une mise en page originale, Patrick Bade explore ici l’univers équivoque de Beardsley, artiste "fin de siècle" par excellence. A travers des illustrations qui choquèrent ses contemporains, le dessinateur défia hardiment la morale victorienne, pour devenir un témoin privilégié de son époque.

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  Il n'y a pas de Ajar : monologue...

  Delphine Horvilleur

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  Plongez dans l'histoire fascinante de l'Université d'Avignon aux 17ème et 18ème siècles avec l'audiobook "L’Université d’Avignon aux 17ème et 18ème siècles" de Joseph Marchan. Cette œuvre captivante vous transporte à une époque où l'éducation et la jurisprudence étaient au cœur de la vie intellectuelle. Grâce à une narration vivante et immersive, découvrez les luttes, les succès et les défis auxquels cette institution prestigieuse a fait face au fil des siècles. Écoutez les récits des docteurs, des étudiants et des événements marquants qui ont façonné l'université dans une ville riche en culture et en traditions. Un voyage unique à travers le temps qui ravira les passionnés d'histoire et d'éducation !

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  Albert Marquet Le Paradoxe du Temps

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  Paradoxalement, Albert Marquet (1875 – 1947) appartient plus au passé et au futur qu’au présent. Son art, imprégné d’une profonde sensibilité, attend le silence qui n’est pas encore tombé, un silence qui résonne comme une promesse d’éternité. À travers ses œuvres, il nous invite à un voyage intemporel, où chaque coup de pinceau révèle une part de mystère et de contemplation.
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  Voici le grand manuel qui révèle l’ossature du monde bâti: un guide clair, précis et passionnant qui conduit des origines de l’architecture jusqu’à l’atelier de l’ingénieur, stylo et truelle en main. Écrit par Jean-Baptiste Rondelet, ce premier tome explore la “connaissance des matériaux” et démystifie pierres, chaux, sables, pouzzolanes, plâtres et ciments, en articulant histoire, science et pratique de chantier. 
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  Dans cet autoportrait écrit à vif, dans la brûlure, l’intensité et l’âpreté du quotidien, Chantal Akerman nous confie la matière même de toute son œuvre. Les mots sont autant d’images accolées entre elles, scotchées, coupées ; c’est l’écriture comme un montage en cours, le cinéma n’est jamais loin. C’est le même langage que la vie. L’autrice dévoile avec pudeur et douleur la relation avec sa mère, avec sa compagne, avec sa propre folie, qui la guette. Ma mère rit est une magnifique plongée dans les joies, les blessures ; dans le cœur de la réalisatrice.
  
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  Couverture : Photogramme extrait du film "La Paresse" de Chantal Akerman, 1986. © Fondation Chantal Akerman.

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