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L'Église luthérienne de Genève - cover

L'Église luthérienne de Genève

Catherine Courtiau

Maison d'édition: Gesellschaft für Schweizerische Kunstgeschichte

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Synopsis

Cette magnifique « maison de maître », qui a été édifiée en 1762-1766 par et pour l’Eglise luthérienne de Genève sur les fondations du château d’Allinges-Coudrée, se dresse élégamment au bas de la place du Bourg-de-Four. Elle mérite toute notre considération et toute notre attention. Son histoire est particulièrement intéressante, tant du point de vue cultu(r))el, philosophique, politique que de celui de sa construction, de sa structure et de son aménagement. Le bâtiment a été classé monument historique par le Conseil d’Etat de Genève en 1921 déjà !
Disponible depuis: 10/11/2021.
Longueur d'impression: 48 pages.

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    Ornans, sa ville natale, se situe près la ravissante vallée du Doubs, et c'est là que jeune garçon, et plus tard en tant qu'homme, il acquit l'amour du paysage. Il était par nature révolutionnaire, un homme né pour s'opposer à l'ordre
    existant et affirmer son indépendance ; il possédait la rage et la brutalité qui font le poids d'un révolutionnaire en art comme en politique. Et son esprit de révolte se manifesta dans ces deux directions.
    Il s'installa à Paris pour étudier l'art. Toutefois, il ne se fixa pas à l'atelier d'un maître influent en particulier. Dans sa province natale déjà, il n'avait pas cherché à se former à la peinture, et préférait maintenant étudier les chefsd'oeuvre exposés au Louvre. Au début, ses oeuvres n'étaient pas assez caractéristiques pour susciter une quelconque opposition, et elles furent admises au Salon. Puis il produisit L'Enterrement à Ornans, qui fut violemment pris d'assaut par les  ritiques : «Une mascarade de funérailles, six mètres de long, dans lesquels il y a plus motif à rire qu'à pleurer ». En réalité, la véritable offense des tableaux de Courbet était de représenter la chair et le sang vivants ; des hommes et des femmes tels qu'ils sont vraiment, et faisant vraiment ce qu'ils sont occupés à faire – non pas des hommes et des femmes dépourvus de personnalité et idéalisés, peints dans des positions destinées à décorer la toile. Il se défendit en disant qu'il peignait les choses telles qu'elles sont, et professa que la vérité vraie devait être le but de l'artiste. C'est ainsi que lors de l'Exposition universelle de 1855, il retira ses tableaux du site officiel et les exposa dans une cabane en bois, juste à côté de l'entrée, arborant l'intitulé en majuscules : «Courbet – Réaliste ».
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