Rejoignez-nous pour un voyage dans le monde des livres!
Ajouter ce livre à l'électronique
Grey
Ecrivez un nouveau commentaire Default profile 50px
Grey
Abonnez-vous pour lire le livre complet ou lisez les premières pages gratuitement!
All characters reduced
La chartreuse d’Ittingen - cover

La chartreuse d’Ittingen

Felix Ackermann

Maison d'édition: Gesellschaft für Schweizerische Kunstgeschichte

  • 0
  • 0
  • 0

Synopsis

Les derniers moines ont quitté la Chartreuse d’Ittingen en 1848. Les bâtiments, construits au fil des siècles, sont passés en possession du canton de Thurgovie, puis de propriétaires privés, qui les ont utilisés comme résidence seigneuriale et ferme modèle. Depuis 1977, la Fondation de la Chartreuse d›Ittingen exploite le complexe en tant que centre culturel et de rencontre, qui abrite également deux musées cantonaux. L’ensemble du complexe, parfaitement conservé, offre un aperçu vivant de l’histoire du lieu et de ses anciens habitants. Dans les cellules des moines, les jardins de la croix et l’église rococo richement meublée, l’image de soi des chartreux en tant qu’ermites de la communauté peut être vécue directement.
Disponible depuis: 18/03/2022.
Longueur d'impression: 56 pages.

D'autres livres qui pourraient vous intéresser

  • La Villa Morillon - cover

    La Villa Morillon

    Jürg Schweizer

    • 0
    • 0
    • 0
    Le Morillon est la dernière campagne bernoise, c’est-à-dire une maison liée à un domaine agricole appartenant à une famille patricienne fortunée. L’éloignement de la ville, malodorante et bruyante en été, a toujours été un moteur pour construire une maison de campagne. Ces demeures permettaient de mener une vie agréable et offraient un espace représentatif pour des événements conviviaux. Mais en réalité, le Morillon est aussi une villa, car il est établi à proximité de la ville et s’est détourné des formes traditionnelles de la maison de campagne bernoise du 18e siècle. Son plan comme ses façades s’inspirent de modèles italiens du 16e siècle. Les villas d’Andrea Palladio ont joué un rôle essentiel pour le jeune architecte Ludwig Friedrich Osterrieth lorsqu’il a élaboré le projet en 1830. Le maître d’ouvrage Friedrich Ludwig von Wattenwyl, particulièrement exigeant, s’intéressait à l’architecture et à l’art ; il était lui-même peintre et dessinateur à ses heures. Des héritages et un mariage lui ont permis de construire et d’aménager un bâtiment extraordinaire qui, jusqu’en 2018, était un refuge presque secret de l’histoire et de l’art bernois. Depuis, le bâtiment a été restauré et il est devenu accessible au grand public à l’occasion d’événements culturels.
    Voir livre
  • Rio de Janeiro - cover

    Rio de Janeiro

    Klaus H. Carl, Ingo Latotzki

    • 0
    • 0
    • 0
    Ville des contrastes comme beaucoup d'autres centres urbains de l'Amérique du Sud, Rio ne vit que pour le football et la samba. Fondé par le portugais, André Gonçalves, un premier janvier en 1502, déclaré capitale du Brésil par Jean IV en 1763, Rio connaît des transformations majeures sous le Président Alvares au début du XXème siècle : percement d'avenues, cohérence urbanistique. Les plus grands architectes de leur temps viendront alors exercer leurs talents. Les habitations se mêlent à un paysage tropical, bananiers, canne à sucre, et une large baie dominée par le Pão de Açucar, le fameux Pain de Sucre. Rio, c'est aussi, des plages de rêve, telles que Copacabana et Ipanéma, où se dorent au soleil, les plus belles femmes du monde, les brésiliennes aux maillots les plus hardis. A travers une collection de photos hautes en couleurs, ce livre redécouvre les contrastes saisissants qui font Rio : des édifices du centre-ville, à l'avant-garde architecturale, en passant par les favelas, dont les habitants se défoulent pendant le Carnaval, dans des habits de rêve, ou manifestent d'une seule voix leur passion pour les matchs de football du Maracanã. Rio est composite, tout comme sa population.
    Voir livre
  • Aubrey Beardsley - cover

    Aubrey Beardsley

    Patrick Baude

    • 0
    • 0
    • 0
    Né en 1872, Aubrey Beardsley fut, avec Oscar Wilde, une figure emblématique de la décadence qui marqua la fin du règne de la reine Victoria. Largement autodidacte, Beardsley témoigne d’abord dans ses dessins de l’influence des Préraphaélites, comme Burne-Jones et Rossetti. Par la suite, il adopte un style plus radical et novateur, en illustrant Le Morte d'Arthur de Sir Thomas Malory et participe à la création de la revue The Yellow Book.
    Mais c’est à travers ses dessins sombres et érotiques, notamment pour Salomé d’Oscar Wilde, qu’il évoqua au mieux l’atmosphère trouble de l’époque. Atteint de tuberculose, Beardsley connut une mort prématurée à l’âge de 25 ans. Il laissa derrière lui de nombreuses illustrations, qui eurent une grande influence sur les artistes de l’Art Nouveau.
    Servi par une mise en page originale, Patrick Bade explore ici l’univers équivoque de Beardsley, artiste "fin de siècle" par excellence. A travers des illustrations qui choquèrent ses contemporains, le dessinateur défia hardiment la morale victorienne, pour devenir un témoin privilégié de son époque.
    Voir livre
  • MUSIQUE RUSSE (L'indéfinie) - cover

    MUSIQUE RUSSE (L'indéfinie)

    Anne-Marie Mitterrand

    • 0
    • 0
    • 0
    Au lendemain de ses 18 ans, une jeune fille laisse éclater le mal de vivre qui a bercé son enfance bourgeoise. L'amour, les épreuves, et la musique sauront-ils lui rendre le goût du monde ? 
    Paris, début des années 1970. Nous faisons la connaissance d'une famille de la haute bourgeoisie où Mathilde, la cadette, cherche à tromper son ennui. Ainsi promène-t-elle son spleen dans les fameux " rallyes ", fait l'école buissonnière, couche avec son cousin Franz, en attendant l'événement qui devrait tout changer : le bal de ses dix-huit ans. Quelle déception : au lendemain de la fête, la vie reprend son cours entre les immeubles haussmanniens, routinière et absurde. Mathilde voudrait ne plus avoir à vivre, elle tombe dans l'anorexie... Mais dans un " certain milieu ", on ne met pas fin à ses jours : on est d'abord soigné dans une clinique ruineuse, puis on se marie. Mathilde n'a guère de prétendant ? En guise d'époux, sa mère va lui trouver un veuf, russe, de vingt ans son aîné, seul rescapé d'une famille juive déportée sous l'Occupation. L'homme, désargenté, violent, a des fréquentations louches, mais aussi une énergie tonitruante qui fascine Mathilde. Au son des airs slaves qu'il joue si bien, la vie pourra-t-elle recommencer ? 
    L'auteur réalise une galerie de portraits et de personnages qui, savoureux ou détestables, sont à la fois littéraires et vrais. Un roman – une autofiction ? – entre deux tons, deux religions, deux mondes, qui parvient à construire des ponts inattendus
    Voir livre
  • Adjugé volé - Chronique d'un trafic à Drouot - cover

    Adjugé volé - Chronique d'un...

    Michel Deléan

    • 0
    • 0
    • 0
    Depuis cent soixante ans, les 800 000 pièces exposées chaque année à l'Hôtel Drouot sont confiées exclusivement aux cols rouges, tous d'origine savoyarde. Ils préparent les lots, les présentent au public, les redistribuent aux acheteurs et les stockent.
    
    Mais en 2004, leur prestige et celui de la plus grande salle des ventes aux enchères de France est remis en cause : un tableau de Courbet a été volé lors d'un inventaire. Quelques mois plus tard, un Savoyard propose l'oeuvre à un expert. La justice s'intéresse alors aux affaires d'une organisation qui a tout d'une confrérie, et découvre des diamants dans leur entrepôt, des objets d'arts dans leurs appartements, des comptes tenus précisément sur de mystérieuses ventes.
    
    Grâce à son investigation, basée sur des documents inédits, l'auteur nous entraîne dans les secrets d'un trafic étonnant, digne d'un roman policier. Une enquête menée par l'Office de lutte contre le trafic des bien culturels qui se poursuit encore aujourd'hui.
    Voir livre
  • Ma mère rit - cover

    Ma mère rit

    Chantal Akerman

    • 0
    • 0
    • 0
    Dans cet autoportrait écrit à vif, dans la brûlure, l’intensité et l’âpreté du quotidien, Chantal Akerman nous confie la matière même de toute son œuvre. Les mots sont autant d’images accolées entre elles, scotchées, coupées ; c’est l’écriture comme un montage en cours, le cinéma n’est jamais loin. C’est le même langage que la vie. L’autrice dévoile avec pudeur et douleur la relation avec sa mère, avec sa compagne, avec sa propre folie, qui la guette. Ma mère rit est une magnifique plongée dans les joies, les blessures ; dans le cœur de la réalisatrice.
    
    Aurore Clément, grande comédienne et amie de Chantal Akerman ayant joué dans plusieurs de ses films, nous livre une lecture magique de Ma mère rit. Un très bel hommage empreint d'émotion. 
    
    
    Couverture : Photogramme extrait du film "La Paresse" de Chantal Akerman, 1986. © Fondation Chantal Akerman.
    Voir livre