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Paul Gauguin et œuvres d'art - cover

Paul Gauguin et œuvres d'art

Jp. A. Calosse

Casa editrice: Parkstone International

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Sinossi

Paul Gauguin (Paris, 1848 – Atuona, Iles Marquises 1903)
Paul Gauguin fut tout d'abord marin puis agent de change émérite à Paris. En 1874, il commença à peindre pendant les week-ends, tel un peintre du dimanche. Neuf ans plus tard, après un crack boursier, il sentit qu'il pourrait faire vivre sa famille en peignant et il démissionna. Sur les pas de Cézanne, Gauguin peignit des natures mortes dès le début de sa carrière artistique. Il posséda même une nature morte de Cézanne, que l'on peut observer derrière le personnage principal de son Portrait de Marie Lagadu. En 1891, Gauguin quitte la France pour Tahiti où il resta jusqu'en 1893. Son séjour à Tahiti fut déterminant pour sa vie et sa carrière future. Après un retour en France, il repart à Tahiti en 1895 et y restera le restant de sa vie. Là, Gauguin découvrit l'art primitif, avec ses formes planes et ses couleurs violentes, celles de la nature à l'état sauvage. Avec une fidélité absolue, il les reproduisit sur sa toile. Toutes ses peintures sont le reflet d'un style caractérisé par la simplifications radicales du dessin, les couleurs brillantes, pures et lumineuses, une composition ornementale et une platitude délibérée des plans – le style qu'il appelait lui-même «symbolisme synthétique ».
Disponibile da: 01/07/2011.
Lunghezza di stampa: 108 pagine.

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    convaincu de sa propre importance en tant qu’artiste, Schiele réalisa plus de choses dans sa jeunesse, brutalement abrégée, que beaucoup d’artistes dans toute leur existence. Ses racines puisaient dans le Jugendstil du mouvement de la Sécession Viennoise. Comme toute sa génération, il tomba sous l’influence écrasante de l’artiste le plus illustre et charismatique de Vienne, Gustav Klimt. A son tour, Klimt reconnut le remarquable talent de Schiele et encouragea le jeune artiste, qui au bout de deux ans, rompait déjà avec la sensualité décorative de son mentor. Amorçant une intense
    période de créativité vers 1910, Schiele entama un intrépide exposé de la forme humaine – sans oublier la sienne – si pénétrant, qu’il est clair que l’examen auquel il se livrait était plus psychologique, spirituel et émotionnel, que physique. Il peignit plusieurs vues urbaines, paysages, portraits formels et sujets allégoriques, mais ce sont ses oeuvres sur papier, extrêmement candides, parfois ouvertement érotiques, et son penchant pour les modèles trop jeunes, qui rendirent Schiele vulnérable à la critique morale. En 1912, il fut soupçonné et emprisonné pour une série d’atteintes
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    Schiele fut présenté dans un numéro de magazine expressionniste de gauche, basé à Berlin, Die Aktion, et on finit par l’apprécier. Il fut considéré très tôt comme un génie. Cela lui valut le soutien d’un petit groupe de collectionneurs et d’admirateurs très patients. Néanmoins, pendant plusieurs années, ses finances furent précaires. Il avait souvent des
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    Le 7 janvier 1889, quatorze jours après son automutilation, Vincent quitta l'hôpital. Ignorant sa propre folie, il espérait se rétablir et oublier, mais en réalité, il y retourna deux fois cette année là. Au cours de son ultime séjour à l'hôpital, Vincent peignit des paysages dans lesquels il recréait le monde de son enfance. On dit que Vincent van Gogh se tira une balle dans la tempe dans un champ, mais décida de rentrer à l'hôtel et de se coucher. Le propriétaire informa le Dr Gachet et son frère, Theo ; ce dernier décrivit les derniers instants de sa vie qui prit fin le 29 juillet 1890 : «Je voulais mourir. Mais j'étais assis à son chevet, lui promettant que nous allions le guérir. [...] », il répondit : «La tristesse durera toujours. »
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