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La Machine à assassiner - cover

La Machine à assassiner

Mary Roberts Rinehart

Casa editrice: Publisher s24148

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Sinossi

Le roman paraît, sous le titre La Poupée sanglante, 2e partie : Gabriel, en 41 feuilletons quotidiens du journal Le Matin entre le 10 août et le 19 septembre 1923. L'œuvre est reprise en volume l'année suivante chez Tallandier. Bien que La Machine à assassiner ait été publiée initialement dans un volume indépendant, la plupart des éditions modernes l'incluent à la suite de La Poupée sanglante en ne conservant que ce dernier titre sur la couverture.
Disponibile da: 24/11/2017.

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    Alfred Sisley naquit à Paris le 30 octobre 1839 dans une famille anglaise. Ayant atteint ses dix-huit ans, ses parents l'envoyèrent en Angleterre. C'est alors, probablement, qu'il pressentit, devant la facture libre des paysages, à l'apparence d'esquisses, de Turner et Constable, sa vocation pour la peinture. Le destin amena Sisley, en octobre 1862, dans le même atelier libre de Charles Gleyre, où étaient venus étudier Claude Monet, Auguste Renoir et Frédéric Bazille. C'est Sisley qui avait incité ses amis à en finir avec l'apprentissage chez Gleyre et à partir peindre dans la nature. Il était indigné, beaucoup plus que ses amis, par l'attitude hautaine de Gleyre envers le paysage. Pour Sisley, le paysage fut, dès le début, non seulement un genre pictural essentiel, mais, en fait, le seul et unique auquel il travaillât toute sa vie. Après avoir quitté Gleyre, Sisley peignit souvent en compagnie de Monet, Renoir et Bazille dans les environs de Paris.
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