Join us on a literary world trip!
Add this book to bookshelf
Grey
Write a new comment Default profile 50px
Grey
Subscribe to read the full book or read the first pages for free!
All characters reduced
La Peinture hollandaise - cover

La Peinture hollandaise

Victoria Charles

Publisher: Parkstone International

  • 0
  • 0
  • 0

Summary

Le caractère unique de la peinture de paysage hollandaise, avec ses cours d’eau et son abondance de couleurs, ne se retrouve pas seulement dans les représentations de la nature mais aussi dans de fameux portraits et représentations de scènes de la société de cette époque. Ce livre rassemble les temps forts de la peinture hollandaise, compilant les plus célèbres artistes du XVe au XIXe siècle, notamment Bosch, Rembrandt, Rubens, ou Van Eyck. Trois détails caractéristiques de chaque œuvre sont mis en lumière à travers la mise en page innovante de ce livre, qui souligne l’amour des détails si symptomatique de l’art hollandais.
Available since: 07/01/2011.
Print length: 380 pages.

Other books that might interest you

  • Kasimir Malevitch - cover

    Kasimir Malevitch

    Jp. A. Calosse

    • 0
    • 1
    • 0
    Kasimir Malevitch (Kiev, 1878 — Saint-Pétersbourg, 1935) était un peintre, un grand théoricien d’art, et surtout le père fondateur du suprématisme, style basé sur les formes géométriques et la recherche de l’abstraction pure. « Le suprématisme, écrivit-il, m’a conduit à découvrir quelque chose qui n’avait pas encore été compris jusqu’alors… Il y a dans la conscience humaine un désir impérieux d’espace et la volonté de s’échapper du globe terrestre. » Cette publication présente les œuvres étincelantes de Malevitch, cet artiste original qui, jusqu’à l’âge de vingt-sept ans, ne suivit aucune formation professionnelle de peintre et apprit à dessiner uniquement par curiosité et soif de connaissance. Une fois encore, Gerry Souter nous propose de découvrir les œuvres d’un artiste fascinant à travers une nouvelle approche de sa personnalité.
    Show book
  • La Renaissance du Muralisme Mexicain 1920-1925 - cover

    La Renaissance du Muralisme...

    Jean Charlot

    • 0
    • 0
    • 0
    La peinture mexicaine n'est devenue internationalement reconnue qu’au début du 20e siècle. Ce fut le mouvement muraliste, à partir des années 1920, fortement lié à la révolution mexicaine de la décennie précédente, à partir de laquelle de grands artistes comme José Clémente Orozco (1883-1949), David Alfaro Siqueiros (1896-1974) et Diego Rivera (1886-1957) ont émergé. Rarement l'art a été plus politique. Les muralistes mexicains érigent sur les murs des bâtiments les plus divers, l'histoire de cette nation si agitée, faites de sang, de cris, de fureur et d’une immense espérance dans la vie.
    Show book
  • O'Keeffe - cover

    O'Keeffe

    Janet Souter

    • 0
    • 0
    • 0
    Georgia O’Keeffe (Sun Prarie, Wisconsin, 1887 – Santa Fe, 1986)
    En 1905, Georgia O’Keeffe suivit des cours à l’ Art Institute de Chicago et débuta sérieusement sa carrière artistique. Elle s’installa ensuite à New York et s’inscrivit à l’Art Students League School.
    Georgia adorait les cours de nature morte dispensés par le fringant William Merritt Chase, un des professeurs qui l’influencèrent durant cette période. Elle fréquenta la galerie 291 et y rencontra son futur mari, le photographe, Alfred Stieglitz. Durant l’été 1912, elle suivit des cours à l’université de Virginie auprès d’Alon Bement qui recourait à une méthode révolutionnaire pour enseigner l’art, imaginée par Arthur Wesley Dow. Les élèves ne copiaient pas mécaniquement la nature, mais se voyaient enseigner les principes du dessin basé sur les formes géométriques. Ils s’exerçaient à diviser un carré, dessiner au coeur d’un cercle ou encore placer un rectangle autour d’un dessin, puis organiser la composition en l’agençant par l’ajout ou l’élimination d’éléments. Georgia trouva que cette méthode conférait une structure à l’art et l’aidait à comprendre les bases de l’abstraction. Au début de l’année 1925, Stieglitz exposa les artistes encouragés à l’époque du 291. C’est au cours de cette exposition que les peintures géantes de fleurs de Georgia O’Keeffe, destinées à faire prendre conscience de la nature, furent présentées pour la première fois. Les critiques acclamèrent cette nouvelle manière de voir. Elle détestait cependant les connotations sexuelles que les gens associaient à ses toiles, en particulier à ce moment des années 1920 où les théories freudiennes commençaient à ressembler à ce que nous appellerions aujourd’hui de la «psychologie de bazar ».
    L’héritage que Georgia laisse derrière elle est une vision unique qui traduit la complexité de la nature en formes simples. Elle nous enseigne qu’il y a de la poésie dans la nature et de la beauté dans la géométrie.
    Show book
  • Ça commence par moi - "Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde" - cover

    Ça commence par moi - "Soyons le...

    Julien Vidal

    • 0
    • 0
    • 0
    Et si nous avions déjà les solutions dans notre quotidien pour changer le monde à notre échelle ?Tester et adopter une action écocitoyenne chaque jour pendant un an, c’est le défi que s’est lancé Julien Vidal. Il a choisi de partager son expérience et a répertorié ses 365 actions sur le site internet cacommenceparmoi.org. Voici un récit de vie au pays de l’utopie écologique à l’énergie contagieuse et à l’optimisme entraînant, accessible et rassembleur. Des solutions du quotidien, simples, efficaces (et économiques) pour changer le monde, ou comment réduire son empreinte écologique par quatre et diviser la taille de sa poubelle par dix, tout en économisant 300 euros par mois et en se reconnectant avec soi-même.« Oui, nous avons tous un rôle à jouer dans la préservation de notre planète. Oui, nous pouvons donner du sens à notre vie et agir pour que chaque être humain vive décemment. Je veux prouver que participer à la construction d’un monde meilleur, c’est possible, même pour le monsieur Tout-Le-Monde que je suis. Je vais partager ce vécu en toute transparence, en racontant les joies et les galères, les victoires et les échecs. Et si je me lance dans cette démarche, c’est surtout parce que j’ai envie d’être heureux. C’est parti, changer le monde, ça commence par moi ! »
    Show book
  • Cassatt - cover

    Cassatt

    Nathalia Brodskaya

    • 0
    • 0
    • 0
    Mary Cassatt (Pittsburg, 1844, – Château de Beaufresne, 1926)
    Mary est née à Pittsburgh. Son père était un banquier très libéral en matière d'éducation, et toute la famille semblait manifester une certaine sympathie pour la culture française.
    Mary n'avait pas plus de cinq ou six ans lorsqu'elle vit Paris pour la première fois, et elle était encore adolescente quand elle décida de devenir peintre. Elle se rendit en Italie, puis
    tourna ses pas vers Anvers, pour retourner à Rome et finalement, revenir à Paris, où, en 1874, elle s'installa définitivement.
    En 1872, elle envoya ses premières oeuvres au Salon ; d'autres suivirent jusqu'en 1875, année où elle envoya un portrait de sa soeur, qui fut refusé. Elle devina que le jury n'avait pas aimé l'arrière-plan, c'est pourquoi elle le retravailla à maintes reprises pour le renvoyer au Salon de l'année suivante, où il fut finalement accepté. A ce moment-là, Degas lui demanda d'exposer avec lui et ses amis du groupe des impressionnistes, dont la popularité allait croissant, et elle accepta avec joie. Elle admirait Manet, Courbet, et Degas, et détestait l'art conventionnel. Son biographe insiste sur son intellectualité et ses sentiments, sur les émotions et les nuances avec lesquelles elle peignait ses modèle préférés : les bébés et leurs mères. Il parle aussi de son intérêt particulier pour le dessin et sa maîtrise du trait, un don renforcé par son étude approfondie de l'art japonais, imitant son style dans des gravures en couleur. Si son style puise à diverses sources, en revanche son dessin, ses compositions, sa lumière et ses couleurs, sont les siennes. Ses toiles possèdent une certaine délicatesse dont peut-être seule une femme est capable, mais les qualités qui ont inscrit son oeuvre dans la postérité, sont, elles, d'une nature que seul un peintre extraordinaire peut produire.
    Show book
  • Lempicka - cover

    Lempicka

    Patrick Bade

    • 0
    • 1
    • 0
    Les portraits, les nus et les natures mortes de Tamara de Lempicka (1898-1980) résument l’esprit Art déco et Jazz Age. Ils reflètent le style de vie élégant et hédoniste d’une élite fortunée et glamour dans le Paris de l’entre-deux-guerres. Combinant une formidable technique classique et des éléments empruntés au cubisme, Tamara de Lempicka représente à l’époque le summum de la modernité, tout en s’inspirant de grands maîtres portraitistes comme Bronzino et Ingres. Ce livre célèbre la beauté rationnelle de ses meilleurs travaux réalisés entre 1920 et 1930. Il retrace l’histoire de la vie extraordinaire de cette femme séductrice et talentueuse du début du siècle en Pologne et dans la Russie des tsars, ainsi que celle de ses années glorieuses à Paris et de ses longues années de déclin aux Etats-Unis jusqu’à sa redécouverte triomphante dans les années 70, lorsque ses portraits devenaient des icônes emblématiques mondialement connues.
    Show book