Join us on a literary world trip!
Add this book to bookshelf
Grey
Write a new comment Default profile 50px
Grey
Subscribe to read the full book or read the first pages for free!
All characters reduced
Claude Monet: Vol 1 - cover

Claude Monet: Vol 1

Nina Kalitina, Nathalia Brodskaïa

Publisher: Parkstone International

  • 0
  • 0
  • 0

Summary

C’est avec Impression, soleil levant, exposé en 1874, que le peintre Claude Monet (18401926) se fait connaître du grand public et donne naissance au mouvement impressionniste. Tout au long de sa vie, il essaya de saisir les mouvements naturels autour de lui et de les traduire en sensations visuelles sur ses toiles. Personnalité complexe, peintre brillant, Monet est aujourd’hui mondialement reconnu pour ses compositions intimes et poétiques, ses séries de nénuphars et ses paysages représentant une nature vivante et belle. Il laisse derrière lui des chefsd’oeuvre qui
fascinent encore aujourd’hui les amateurs d’art à travers le monde.

Dans cet ouvrage composé de deux volumes illustrés, Nathalia Brodskaïa et Nina Kalitina nousv invitent à un voyage à travers le temps pour découvrir ou redécouvrir l’histoire d’un mouvement et d’un peintre aux destins à jamais liés : Claude Monet et l’impressionnisme. Spécialistes de l’art des XIXe et XXe siècles, les deux auteurs mettent en lumière la naissance de la modernité en peinture, véritable révolution qui a rendu possible l’épanouissement du paysage artistique du XXe siècle.
Available since: 12/31/2015.
Print length: 254 pages.

Other books that might interest you

  • Les Oiseaux d'Audubon - cover

    Les Oiseaux d'Audubon

    John James Audubon

    • 0
    • 1
    • 0
    L’ambitieux projet d’Audubon de peindre tous les oiseaux d’Amérique du Nord résulta en un travail si important qu’il fut une des grandes étapes de l’ornithologie. Il n’identifia pas seulement des nouvelles espèces, mais il dépeignit aussi les oiseaux dans leur habitat naturel, ainsi que dans des poses dynamiques. Son impressionnante collection va du flamant rose à l’aigle à tête blanche, en passant par la conure de Caroline. Audubon décrit chaque espèce avec un texte concis, précisant les particularités de chaque oiseau.
    Show book
  • Picasso de Malaga 1881 a Mougins 1973 - cover

    Picasso de Malaga 1881 a Mougins...

    Victoria Charles, Anatoli Podoksik

    • 0
    • 0
    • 0
    Peu de personnes contestent le fait que Pablo Picasso (1881-1973) ait été l’artiste le plus  important du XXe siècle. Né à Malaga, en Espagne, Picasso a révélé son génie dès son plus jeune âge et s’est rapidement trouvé une place au sein des cercles artistiques les plus populaires de son temps, d’abord à malaga puis à Paris. En recherche d’inspiration et dans un contexte de renouveau artistique, Picasso se tourne vers l’histoire médiévale et les arts primitifs. On lui doit, ainsi qu’à George Braque, l’invention du Cubisme, non seulement l’un des nombreux mouvements avant-gardistes mais aussi l’expression d’une esthétique qui allait changer l’art de la peinture pour toujours. Une fois libéré des principes traditionnels, Picasso a produit des œuvres remarquables aussi bien en qualité qu’en quantité.
    Show book
  • Gustav Klimt et œuvres d'art - cover

    Gustav Klimt et œuvres d'art

    Patrick Bade, Jayne Reynolds

    • 0
    • 0
    • 0
    Gustav Klimt (Baumgarten, 1862 – Vienne, 1918)
    «Faire un autoportrait ne m'intéresse pas. Les sujets de peinture qui m'intéressent ? Les autres et en particulier les femmes… » Aucune référence au monde extérieur ne vient contrarier le charme des allégories, portraits, paysages et autres personnages que l'artiste peint. Des couleurs et des motifs d'inspiration orientale (Klimt a été très influencé par le Japon, l'ancienne Egypte et la Ravenne byzantine), un espace bidimentionnel dépourvu de profondeur et une qualité souvent stylisée de l'image, autant d'éléments utilisés par le peintre pour créer une oeuvre séduisante, où le corps de la femme s'expose dans toute sa volupté. A 14 ans, il obtient une bourse d'Etat pour entrer à la Kunstgewerbeschule (l'Ecole viennoise des Arts et Métiers). Très vite, ses talents de peintre et de dessinateur s'affirment. Ses toutes  remières oeuvres lui valent un succès inhabituellement précoce. Sa première grande initiative date de 1879 : il crée cette année-là la Künstlerkompagnie (la compagnie des artistes) avec son frère Ernst, et Franz Matsch. A Vienne, la fin du XIXe siècle est une période d'effervescence architecturale. L'empereur François- Joseph décide, en 1857, de détruire les remparts entourant le coeur médiéval de la ville. Le Ring, financé par l'argent du contribuable, est alors construit : de magnifiques résidences y côtoient de superbes parcs. Ces changements profitent à Klimt et à ses associés, leur fournissant de multiples occasions de faire montre de leur talent.
    En 1897, Klimt, accompagné de quelques amis proches, quitte la très conservatrice Künstlerhausgenossenschaft (Société coopérative des artistes autrichiens) ; il fonde le mouvement Sécession et en prend la présidence. La reconnaissance est immédiate. Au-dessus du porche d'entrée de l'édifice, conçu par José Maria Olbrich est inscrite la devise du mouvement : «A chaque âge son art, à l'art sa liberté. » A partir de 1897, Klimt passa pratiquement tous ses étés sur l'Attersee, en compagnie de la famille Flöge. Durant ces périodes de paix et de tranquillité, il eut l'occasion de peindre de nombreux paysages qui constituent un quart de son oeuvre complète. Klimt exécute des croquis préparatoires à la plus grande partie de ses réalisations. Parfois, il exécute plus de cent études pour un seul tableau. Le caractère exceptionnel de l'oeuvre de Klimt tient peut-être à l'absence de prédécesseurs et de réels disciples. Il admirait Rodin et Whistler sans les copier servilement. En retour, il fut admiré par les peintres viennois de la jeune génération, tels Egon Schiele et Oskar Kokoschka.
    Show book
  • Fantin-Latour (1836-1904) - cover

    Fantin-Latour (1836-1904)

    Jp Calosse

    • 0
    • 0
    • 0
    Henri Fantin-Latour, né en 1836, mort en 1904. Il entre à l'École des beaux-arts en 1854. Il a pour condisciple Edgar Degas. En 1861, il fréquente l'atelier de Gustave Courbet. Membre du Cénacle des Batignolles d'où naitra l’Impressionnisme, FantinLatourrénove le portrait collectif avec de grands tableaux-manifestes : Hommage à Delacroix, 1864 ; Un atelier aux Batignolles, hommage à Manet, 1870 ; Un coin de table, hommage aux poètes parnassiens, 1872, dont Verlaine et Rimbaud ; 1885 Autour du piano, hommage aux musiciens. Possédez par la Passion de la musique : de Berlioz, Schumann et Wagner, FantinLatour la transcrit dans ces peintures, Il est l’ami de Manet, Verlaine. Ses œuvres les plus célèbres : Autoportrait à 17 ans, Lille, palais des beaux-arts, Hommage à Delacroix, (1864), Paris, musée d'OrsayUn atelier aux Batignolles, (1870), Paris, musée d'Orsay, Un coin de table, (1872), Paris, musée d'Orsay, Trois filles du Rhin 1876, Paris, musée d'Orsay, Baigneuses 1879, musée des beaux-arts de Lyon, Autour du piano, (1885), Paris, musée d'Orsay, La Famille Dubourg (1887), Paris, musée d'Orsay.
    Show book
  • La folie de l’artiste Créer au bord de l’abîme - cover

    La folie de l’artiste Créer au...

    Thierry Delcourt

    • 0
    • 0
    • 0
    Comment Salvador Dali sublime sa folie sans jamais y basculer. Comment Antonin Artaud, confronté à des traumatismes infantiles, oscille toute sa vie entre une création débordante et des accès de folie. L'auteur essaye de mieux comprendre les liens et les formes de passage entre les sommets de la création et la chute dans l'abîme de l'artiste.
    
    Comment Francis Bacon réussit à maîtriser son histoire chaotique en la mettant en scène dans sa peinture violente et souffrante ? Comment Alberto Giacometti, tel un funambule au bord de la chute, cherche à représenter l'énigme d'une perception de l'être qui ne cesse de lui échapper ? Comment Vaslav Nijinski, fabuleux danseur et chorégraphe des Ballets Russes, sombre dans la folie après avoir subi des traumatismes dans son enfance ? Comment Antonin Artaud, confronté à des traumatismes infantiles, oscille toute sa vie entre une création débordante et des accès de folie? Comment Vincent Van Gogh, pour atteindre le sommet de son art, se met en danger dans sa recherche créative jusqu'à basculer dans le suicide ? Comment Camille Claudel s'épuise dans sa vie et sa création passionnées pour finir internée sans plus jamais créer ? Comment Niki de Saint-Phalle, grâce à l'expression artistique, parvient à se soigner d'une dépression profonde liée au traumatisme de l'inceste ?
    Pourquoi certains artistes basculent dans la folie tandis que d'autres traversent l'existence sans encombre ? Pourquoi certains malades trouvent un mieux-être, et parfois la guérison, en créant ? Pourquoi la nécessité obsédante de nombreux artistes à créer sans relâche ? À ces interrogations qui fascinent, La folie de l'artiste apporte des réponses quant aux liens qui existent entre certaines formes de création artistique et certains troubles neuropsychiques.
    Les sources de cette recherche, ce sont les histoires réelles et documentées d'artistes : ce qu'ils ont vécu, ce qu'ils en ont dit, ce qui les a poussés à créer, ce qu'ils engagent de leur être intime dans leur acte de création, jusqu'où leur passion de créer les conduit, ce qui leur a permis de devenir des artistes épanouis ou au contraire, d'éprouver une souffrance psychique, voire de sombrer dans la folie, parfois jusqu'à se donner la mort.
    Show book
  • Gustave Courbet - cover

    Gustave Courbet

    Georges Riat

    • 0
    • 0
    • 0
    Gustave Courbet
    (Ornans, 1819 – La Tour de Peilz, Suisse, 1877)
    Ornans, sa ville natale, se situe près la ravissante vallée du Doubs, et c'est là que jeune garçon, et plus tard en tant qu'homme, il acquit l'amour du paysage. Il était par nature révolutionnaire, un homme né pour s'opposer à l'ordre
    existant et affirmer son indépendance ; il possédait la rage et la brutalité qui font le poids d'un révolutionnaire en art comme en politique. Et son esprit de révolte se manifesta dans ces deux directions.
    Il s'installa à Paris pour étudier l'art. Toutefois, il ne se fixa pas à l'atelier d'un maître influent en particulier. Dans sa province natale déjà, il n'avait pas cherché à se former à la peinture, et préférait maintenant étudier les chefsd'oeuvre exposés au Louvre. Au début, ses oeuvres n'étaient pas assez caractéristiques pour susciter une quelconque opposition, et elles furent admises au Salon. Puis il produisit L'Enterrement à Ornans, qui fut violemment pris d'assaut par les  ritiques : «Une mascarade de funérailles, six mètres de long, dans lesquels il y a plus motif à rire qu'à pleurer ». En réalité, la véritable offense des tableaux de Courbet était de représenter la chair et le sang vivants ; des hommes et des femmes tels qu'ils sont vraiment, et faisant vraiment ce qu'ils sont occupés à faire – non pas des hommes et des femmes dépourvus de personnalité et idéalisés, peints dans des positions destinées à décorer la toile. Il se défendit en disant qu'il peignait les choses telles qu'elles sont, et professa que la vérité vraie devait être le but de l'artiste. C'est ainsi que lors de l'Exposition universelle de 1855, il retira ses tableaux du site officiel et les exposa dans une cabane en bois, juste à côté de l'entrée, arborant l'intitulé en majuscules : «Courbet – Réaliste ».
    Comme tout révolutionnaire, c'était un extrémiste. Il ignorait délibérément le fait que chaque artiste possède sa propre vision et sa propre expérience de la vérité de la nature ; et il choisit d'affirmer que l'art n'était qu'un moyen de représenter objectivement la nature, dénué d'intentions, et non une affaire de choix ou d'arrangement. Dans son mépris pour la beauté, il choisit souvent des sujets que l'on peut sans mal qualifier de laids. Il possédait néanmoins un sens de la beauté doublé d'une aptitude aux profondes émotions, qui transparaît tout particulièrement dans ses marines. Il se révéla être un peintre puissant, au geste ample et libre, utilisant des couleurs sombres en couche épaisse, et dessinant ses contours avec une fermeté qui rendait toutes ses représentations très réelles et mouvementées.
    Show book