Join us on a literary world trip!
Add this book to bookshelf
Grey
Write a new comment Default profile 50px
Grey
Subscribe to read the full book or read the first pages for free!
All characters reduced
Les Kappa Petites Histoires et Légendes du Japon - cover

We are sorry! The publisher (or author) gave us the instruction to take down this book from our catalog. But please don't worry, you still have more than 500,000 other books you can enjoy!

Les Kappa Petites Histoires et Légendes du Japon

kevin tembouret

Publisher: kevin tembouret

  • 0
  • 0
  • 0

Summary

Les histoires de Yokai ne manquent pas au Japon. Parmi les créatures japonaises les plus populaires, il y a le Kappa… Cet être mystérieux qui se cache dans les rivières pour attraper ses prochaines victimes ! 
Bien qu'une croyance populaire fait des Kappa des créatures sympathiques, les témoignages et petites histoires compilés dans cet ouvrage vous montreront une nouvelle facette de ces monstres. 
Croyez-moi, les Kappa n'aiment pas manger que des concombres. On dit souvent qu'ils sont à la recherche d'une proie humaine ou d'un cheval qui s'égarerait près de sa rivière. Gare à celui qui ose montrer son fessier à un Kappa ! Heureusement, tous ne sont pas aussi féroces et cruels. 
A travers 140 petites histoires, contes, légendes et témoignages, apprenez-en plus sur une des créatures les plus importantes du folklore japonais.  
Attention ! Certains récits ne sont pas adaptés au jeune public …
Available since: 11/19/2020.

Other books that might interest you

  • Egon Schiele et œuvres d'art - cover

    Egon Schiele et œuvres d'art

    Jeanette Zwingenberger, Esther...

    • 0
    • 0
    • 0
    Egon Schiele (Tulln, 1890 – Vienne,1918)
    L’oeuvre d’Egon Schiele est tellement singulière qu’elle résiste à toute catégorisation. Admis à l’Académie des Beaux-Arts de Vienne dès l’âge de seize ans, ce fut un artiste extraordinairement précoce, dont le talent consommé pour le maniement de la ligne, plus que tout autre chose, conférait une tension expressive à toute son oeuvre. Profondément
    convaincu de sa propre importance en tant qu’artiste, Schiele réalisa plus de choses dans sa jeunesse, brutalement abrégée, que beaucoup d’artistes dans toute leur existence. Ses racines puisaient dans le Jugendstil du mouvement de la Sécession Viennoise. Comme toute sa génération, il tomba sous l’influence écrasante de l’artiste le plus illustre et charismatique de Vienne, Gustav Klimt. A son tour, Klimt reconnut le remarquable talent de Schiele et encouragea le jeune artiste, qui au bout de deux ans, rompait déjà avec la sensualité décorative de son mentor. Amorçant une intense période de créativité vers 1910, Schiele entama un intrépide exposé de la forme humaine – sans oublier la sienne – si pénétrant, qu’il est clair que l’examen auquel il se livrait était plus psychologique, spirituel et émotionnel, que physique. Il peignit plusieurs vues urbaines, paysages, portraits formels et sujets allégoriques, mais ce sont ses oeuvres sur papier, extrêmement candides, parfois ouvertement érotiques, et son penchant pour les modèles trop jeunes, qui rendirent Schiele vulnérable à la critique morale. En 1912, il fut soupçonné et emprisonné pour une série d’atteintes aux moeurs incluant le kidnapping, le viol et la débauche publique. Les accusations les plus graves (toutes sauf celle de débauche publique) furent abandonnées, mais Schiele passa environ trois semaines désespérées en prison. En Allemagne, les cercles expressionnistes offrirent un accueil tiède au travail de Schiele. Son compatriote, Kokoschka, réussissait beaucoup mieux dans ce domaine. Tandis qu’il admirait les artistes munichois du Blaue Reiter, par exemple, ceux-ci le repoussaient. Plus tard, pendant la Première Guerre mondiale, son oeuvre se fit mieux connaître et, en 1916, Schiele fut présenté dans un numéro de magazine expressionniste de gauche, basé à Berlin, Die Aktion, et on finit par l’apprécier. Il fut considéré très tôt comme un génie. Cela lui valut le soutien d’un petit groupe de collectionneurs et d’admirateurs très patients. Néanmoins, pendant plusieurs années, ses finances furent précaires. Il avait souvent des dettes et était parfois forcé d’utiliser du matériel bon marché, de peindre sur du papier d’emballage marron ou du carton, au lieu du papier et des toiles réservés aux artistes. Ce n’est qu’en 1918, qu’il connut son premier succès public notable à Vienne. Tragiquement, quelque temps plus tard, il fut emporté avec sa femme, Edith, par l’épidémie massive de grippe de 1918, qui venait de tuer Klimt et des millions d’autres victimes, et ils moururent à quelques jours d’intervalle. Schiele n’avait que vingt-huit ans.
    Show book
  • L'Art byzantin - cover

    L'Art byzantin

    Charles Bayet

    • 0
    • 0
    • 0
    Pendant plus d’un millénaire, depuis sa création en 330 jusqu’à sa chute en 1453, l’Empire byzantin fut le berceau d’une effervescence artistique que l’on commence seulement à redécouvrir. Riches de l’héritage des cultures romaine, orientale ou chrétienne, les artistes byzantins élaborèrent une tradition architecturale et picturale, empreinte de symbolisme, dont l’influence dépassa largement les frontières de l’Empire. Ainsi, l’Italie, l’Afrique du Nord et le Proche-Orient conservent-ils les vestiges de cet art raffiné, mystique et lumineux.
    La magnificence des palais, des églises, des peintures, des émaux, des céramiques ou encore des mosaïques garantit par ailleurs, à cet art, son rayonnement et son intemporalité.
    Show book
  • Sisley - cover

    Sisley

    Nathalia Brodskaya

    • 0
    • 2
    • 0
    Alfred Sisley (Paris, 1839 – Moret-Sur-Loing, 1899)
    Alfred Sisley naquit à Paris le 30 octobre 1839 dans une famille anglaise. Ayant atteint ses dix-huit ans, ses parents l'envoyèrent en Angleterre. C'est alors, probablement, qu'il pressentit, devant la facture libre des paysages, à l'apparence d'esquisses, de Turner et Constable, sa vocation pour la peinture. Le destin amena Sisley, en octobre 1862, dans le même atelier libre de Charles Gleyre, où étaient venus étudier Claude Monet, Auguste Renoir et Frédéric Bazille. C'est Sisley qui avait incité ses amis à en finir avec l'apprentissage chez Gleyre et à partir peindre dans la nature. Il était indigné, beaucoup plus que ses amis, par l'attitude hautaine de Gleyre envers le paysage. Pour Sisley, le paysage fut, dès le début, non seulement un genre pictural essentiel, mais, en fait, le seul et unique auquel il travaillât toute sa vie. Après avoir quitté Gleyre, Sisley peignit souvent en compagnie de Monet, Renoir et Bazille dans les environs de Paris.
    À partir de 1870, dans la peinture de Sisley commencèrent à apparaître les premières caractéristiques de la manière qui sera plus tard celle de la peinture impressionniste. À partir de ce moment, le coloris des tableaux de Sisley devient nettement plus clair. Cette nouvelle technique crée une impression de vibration de l'eau, de moirures colorées à sa surface et de transparence de l'atmosphère. Dans la peinture de Sisley, la lumière était née. Sisley peignit une quantité de paysages des bords de la Seine. Il découvrit Argenteuil et la petite ville de Villeneuve-la-Garenne, qui resta dans son oeuvre comme l'image du silence et de la tranquillité, d'un monde que la civilisation et l'industrie n'avaient pas encore défiguré.
    Contrairement à Pissarro, il ne recherchait pas l'exactitude prosaïque. Ses paysages se colorent toujours de son attitude émotionnelle à leur égard. Comme chez Monet, les ponts chez Sisley se fondent dans le paysage d'une façon toute naturelle. Un ciel bleu serein se reflète sur la surface à peine frémissante du fleuve. Après la première exposition impressionniste, Sisley passa plusieurs mois en Angleterre. À son retour d'Angleterre, Sisley déménagea de Louveciennes à Marly-le-Roi. Vers cette époque, Sisley était véritablement devenu le peintre de l'eau. Elle l'ensorcelait, l'obligeait à scruter sa surface changeante et à étudier les nuances de sa couleur, comme le faisait Monet dans les prés de Giverny. Les paysages consacrés à l'inondation de Port-Marly sont une apothéose. Le peintre joue avec l'espace et la perspective, et finalement trouve la seule solution : la maison rose est figée dans un monde où le ciel se confond avec la terre, où le reflet frissonne à peine et les nuages glissent lentement. Sisley est le seul impressionniste dont les paysages ne se limitent pas à la beauté changeante de la nature, mais se prolongent dans le domaine tantôt du rêve, tantôt de la réflexion philosophique.
    Show book
  • Petites Filles - cover

    Petites Filles

    Klaus H. Carl

    • 0
    • 0
    • 0
    La collection populaire de parkstone sur les « cinq plus beaux/belles…» offre aux jeunes lecteurs un cours miniature d’histoire  de  l’art, associant  des  puzzles  interactifs  représentant  les  chefs-d’œuvre  de  l’art  à  des  textes  simples  mais didactiques. ces livres fournissent aux parents et aux professeurs un moyen de développer l’imagination artistique des enfants, posant les fondations d’une vie future d’amateurs d’art. Que ce soit des portraits de leurs propres enfants, d’amis ou membres de la famille, les représentations d’enfants sont toujours  des  exemples  saisissants  du  lien  entre  l’innocence  de  l’enfance  et  le  travail  méthodique  du  talent  artistique adulte. dans  ces  charmants  nouveaux  livres  en  puzzles,  les  enfants  peuvent  découvrir  des  petites  filles  et  des  petits garçons tous comme eux, peints par de grands artistes. ils apprennent comment les enfants ont grandi à travers les âges, tout en éprouvant une véritable connexion avec le travail d’artistes de génie.
    Show book
  • Musique & Eros - cover

    Musique & Eros

    Hans-Jürgen Döpp

    • 0
    • 0
    • 0
    La musique n’est pas seulement un plaisir pour l’oreille,
    c’est aussi l’écho des battements du coeur, du souffle et du
    désir. Le professeur Döpp revisite la musique comme étant
    au croisement de la danse, de l’amour et du sexe. De la
    partition jusqu’aux pas de danse, en passant par les
    instruments, la musique est l’expression de nos désirs les
    plus profonds et de nos passions les plus déchaînées. Ce
    texte revisite l’histoire de la musique et de l’art à travers les
    danses des premiers hommes, la danse du ventre, jusqu’à la
    pop et la musique électronique. Musique & Eros nous
    emmène en voyage à travers le temps pour découvrir l’interaction de la musique et de l’érotisme.
    Show book
  • Edgar Degas - cover

    Edgar Degas

    Nathalia Brodskaya, Edgar Degas

    • 0
    • 0
    • 0
    Germain Hilaire Edgar Degas (Paris, 1834 – 1917)
    Dans le cercle des impressionnistes, c'est de Renoir que Degas fut le plus proche : tous deux préférèrent comme motif de leur peinture le Paris vivant de leur époque. Degas ne passa pas par l'atelier de Gleyre et fit probablement connaissance avec les futurs impressionnistes au café Guerbois. En 1853, il commença à faire son apprentissage à l'atelier de Louis-Ernest Barrias et, à partir de 1854, il devint l'élève de Louis Lamothe, qui ne jurait que par Ingres, et transmit son adoration pour ce maître à Edgar Degas. À partir de 1854, Degas se rendit régulièrement en Italie, d'abord à Naples, où il fit connaissance avec ses nombreux cousins, puis à Rome et Florence, où il copia inlassablement les maîtres anciens. Les dessins et esquisses qu'il y fit, révèlent des préférences déjà marquées : Raphaël, Léonard de Vinci, Michel-Ange, Mantegna, mais aussi Benozzo Gozzoli, Ghirlandaio, Titien, Fra Angelico, Uccello, Botticelli. Dans les années 1860 et 1870 il devint le peintre des courses, des chevaux et des jockeys. Sa fabuleuse mémoire de peintre retenait les particularités des mouvements des chevaux partout où il en voyait. Après ses premières compositions, assez complexes, représentant des courses, Degas assimila l'art de traduire l'élégance et la noblesse du cheval, ses
    mouvements nerveux et la plastique de sa musculature. Vers le milieu des années 1860, Degas fit encore une autre découverte ; en 1866, il peignit sa première composition ayant pour sujet le ballet : Mademoiselle Fiocre dans le ballet de la Source (New York, Brooklyn Museum). En 1872, apparaît son premier tableau consacré uniquement au ballet : Le Foyer de la danse à l'Opéra de la rue Le Peletier (Paris, musée d'Orsay). Dans une composition soigneusement construite, où s'équilibrent des groupes de personnages à droite et à gauche, chaque ballerine se livre à ses propres occupations, chacune bouge de son côté. Pour accomplir une tâche pareille, une longue observation et une énorme quantité de croquis étaient indispensables. C'est pourquoi Degas passa du théâtre dans les salles de répétitions, où les danseuses s'exerçaient et prenaient leurs leçons. C'est ainsi que se décida le deuxième domaine de la vie environnante qui allait intéresser Degas. Le ballet resta sa passion jusqu'à la fin de ses jours.
    Show book