Join us on a literary world trip!
Add this book to bookshelf
Grey
Write a new comment Default profile 50px
Grey
Subscribe to read the full book or read the first pages for free!
All characters reduced
Diego Rivera - cover

Diego Rivera

Gerry Souter

Publisher: Parkstone International

  • 0
  • 0
  • 0

Summary

« Je connaissais Diego Rivera, le muraliste mexicain, bien avant de découvrir les nombreux autres « Diego Rivera » qui hantèrent le monde du début du XXe siècle à la fin des années 1950. […] Si ses peintures de chevalet et ses dessins forment une grande part de ses œuvres de jeunesse comme de la maturité, ses peintures murales uniques font exploser les murs par la virtuosité de leur composition époustouflante. Sur ces murs s’exposent tout à la fois l’homme, sa légende et ses mythes, son talent technique, son intensité narrative et les convictions idéologiques qu’il aimait afficher. » (Gerry Souter) Dépassant son admiration, Gerry Souter, auteur du remarquable Frida Kahlo, n’hésite pas à ramener Diego Rivera à une dimension humaine, en constatant ses choix politiques, ses amours, et « qu’au fond de lui bouillonnait le Mexique, langue de ses pensées, sang de ses veines, azur du ciel au-dessus de sa tombe. »
Available since: 09/15/2015.
Print length: 351 pages.

Other books that might interest you

  • Miró - cover

    Miró

    Jp. A. Calosse

    • 1
    • 7
    • 0
    Joan Miró (Joan Miró i Ferra) (Barcelone, 1893 – Palma de Mallorca, 1983) Joan Miró est né dans une chambre au plafond couvert d’étoiles peintes. Il grandit dans la ville de Barcelone, où indépendance farouche et créativité sont indissociables. En 1907, Miró Il s’inscrivit à des cours d’art à la Escuela de la Lonja, une école consacrée aux arts appliqués dispensant à la fois un enseignement traditionnel et professionnel, où un jeune homme nommé Picasso avait impressionné ses professeurs dix ans plus tôt. Puis il suivi les cours privés de la Galí qui, contrairement à l’école Lonja, constituaient un lieu où l’on reconnaissait la singularité de Joan Miró. A l’académie Galí, Miró rencontra quelques-uns des hommes qui allaient devenir non seulement ses collègues en peinture, mais aussi des amis intimes. Avec Enric Cristòfol Ricart, ils louèrent bientôt un atelier ensemble à proximité de la cathédrale de Barcelone. Identifié plus tard comme un surréaliste, Miró n’épousa jamais le style d’aucune école ou courant établi. «Il était clair dans son esprit », ainsi que l’a formulé un critique, «qu’il devait dépasser toutes les catégories et inventer un idiome qui exprimerait ses origines de façon propre et authentique ». Au fil de sa carrière, il travailla dur pour ne pas suivre ses propres traditions. Miró avait aussi étudié les formes brisées du cubisme et avait appris à admirer les couleurs stridentes des Fauves. Mais il avait un oeil unique, et ses peintures combinaient des perspectives tourbillonnantes, des traits de pinceaux épais et des couleurs inattendues. Il cherchait des moyens d’intégrer au style bidimensionnel de son temps des sources d’inspiration telles que le folklore catalan ou les fresques religieuses romanes. Joan Miró commença à reconnaître que, s’il était appelé à devenir un artiste sérieux, comme Picasso, il fallait qu’il s’installe à Paris. Pendant un certain temps, il loua un atelier au 45, rue Blomet, près de chez André Masson. Celui-ci ne fut que le premier lien avec toute une communauté d’artistes auprès de laquelle Miró trouva un foyer, précisément au moment où ceuxci commençaient à se souder autour du mouvement artistique qu’ils appelaient «surréalisme ». C’était un courant de pensée qui glorifiait l’individu et l’imagination, et en même temps se targuait d’une tradition, d’une rationalité et même d’un certain bon sens. Certes influencé par les pratiquants du surréalisme, Miró ne rejoignit pourtant jamais leurs rangs. La joyeuse liberté des dadaïstes était plus à son goût que les manifestes et les dogmes des surréalistes. Cependant, son originalité naïve suscitait l’attention et l’admiration de tous. Tandis qu’il s’élevait en compagnie des autres grands surréalistes vers les sphères de l’imagination, il resta toujours fidèle aux racines de son identité catalane. Il confortait celle-ci en continuant à passer ses étés à Montroig, ne perdant jamais de vue, littéralement, les paysages de la campagne méditerranéenne. Le mythe de Miró se nourrit de la richesse de la «Catalogne elle-même : de sa lumière, de son sol, de ses champs cultivés ou de ses plages » autant que de ses femmes et de ses oiseaux – pour Rowell, «les représentations mythiques les plus constantes à travers une oeuvre longue et variée ». A la fin des années 20, la peinture de Miró avait évolué vers un style combinant le mythe et la nouveauté, le figuratif et l’abstrait, la naïveté de l’enfance et la sophistication symbolique.
    Show book
  • Si Fragile - cover

    Si Fragile

    Fiona Gélin

    • 0
    • 0
    • 0
    « Le désespoir, l'alcool, la traversée du désert, j'ai tout connu ! » confie Fiona Gélin, qui revient dans ce récit sur son parcours... et sa résurrection. 
    Elle y évoque les Gélin, dynastie de comédiens, restés si présents en elle. Tout d'abord son père, Daniel, l'acteur charismatique, qui n'a cessé de l'encourager ; sa demi-soeur, Maria Schneider, immortalisée par *Le Dernier Tango à Paris,*film qui paradoxalement détruisit sa vie ; Xavier Gélin, acteur et producteur, mort d'un cancer en 1999 ; sa mère, mannequin fétiche de Christian Dior et femme fantasque... 
    À 5 ans, Fiona fait ses premiers pas au cinéma dans Mayerling aux côtés de Catherine Deneuve et Omar Sharif. C'est le début d'une longue carrière... Dans ce récit intime, elle se remémore ses rôles au théâtre et à la télévision ; les réalisateurs avec qui elle a tourné ; les hommes de sa vie, dont un certain Daniel Hechter ; et les fantasmes quelle a suscités...
    Show book
  • Le Christ dans l’art - cover

    Le Christ dans l’art

    Ernest Renan

    • 0
    • 0
    • 0
    La figure du Christ a, depuis toujours, inspiré les artistes. Déjà, dans les catacombes de l'Antiquité romaine, son portrait apparaissait sur les fresques murales. Plus tard, la vie du Christ se découpe dans les vitraux des églises gothiques ou se dessine sur les toiles des artistes de la Renaissance. Cependant, la figuration du Seigneur ne répond pas à une codification particulière et peut prendre, selon les artistes, des traits divers et variés.
    Qu'elles soulignent la spiritualité d'un dieu incarné ou les caractéristiques terrestres d'un homme de chair et de sang, les représentations nombreuses du Christ illustrent la fascination que ce dernier exerce sur les artistes, tant religieux que profanes.
    L'auteur, Joseph Lewis French, guide le lecteur à travers les représentations les plus iconiques du Christ dans l'art — des scènes de la Nativité de Cimabue aux portraits provocants de Salvador Dalí ou Andres Serrano.
    Show book
  • Gustave Courbet et œuvres d'art - cover

    Gustave Courbet et œuvres d'art

    Georges Riat

    • 0
    • 0
    • 0
    Gustave Courbet (Ornans, 1819 – La Tour de Peilz, Suisse, 1877)
    Ornans, sa ville natale, se situe près la ravissante vallée du Doubs, et c'est là que jeune garçon, et plus tard en tant qu'homme, il acquit l'amour du paysage. Il était par nature révolutionnaire, un homme né pour s'opposer à l'ordre existant et affirmer son indépendance ; il possédait la rage et la brutalité qui font le poids d'un révolutionnaire en art comme en politique. Et son esprit de révolte se manifesta dans ces deux directions.
    Il s'installa à Paris pour étudier l'art. Toutefois, il ne se fixa pas à l'atelier d'un maître influent en particulier. Dans sa province natale déjà, il n'avait pas cherché à se former à la peinture, et préférait maintenant étudier les chefsd'oeuvre exposés au Louvre. Au début, ses oeuvres n'étaient pas assez caractéristiques pour susciter une quelconque opposition, et elles furent admises au Salon. Puis il produisit L'Enterrement à Ornans, qui fut violemment pris d'assaut par les  ritiques : «Une mascarade de funérailles, six mètres de long, dans lesquels il y a plus motif à rire qu'à pleurer ». En réalité, la véritable offense des tableaux de Courbet était de représenter la chair et le sang vivants ; des hommes et des femmes tels qu'ils sont vraiment, et faisant vraiment ce qu'ils sont occupés à faire – non pas des hommes et des femmes dépourvus de personnalité et idéalisés, peints dans des positions destinées à décorer la toile. Il se défendit en disant qu'il peignait les choses telles qu'elles sont, et professa que la vérité vraie devait être le but de l'artiste. C'est ainsi que lors de l'Exposition universelle de 1855, il retira ses tableaux du site officiel et les exposa dans une cabane en bois, juste à côté de l'entrée, arborant l'intitulé en majuscules : «Courbet – Réaliste ».
    Comme tout révolutionnaire, c'était un extrémiste. Il ignorait délibérément le fait que chaque artiste possède sa propre vision et sa propre expérience de la vérité de la nature ; et il choisit d'affirmer que l'art n'était qu'un moyen de représenter objectivement la nature, dénué d'intentions, et non une affaire de choix ou d'arrangement. Dans son mépris pour la beauté, il choisit souvent des sujets que l'on peut sans mal qualifier de laids. Il possédait néanmoins un sens de la beauté doublé d'une aptitude aux profondes émotions, qui transparaît tout particulièrement dans ses marines. Il se révéla être un peintre puissant, au geste ample et libre, utilisant des couleurs sombres en couche épaisse, et dessinant ses contours avec une fermeté qui rendait toutes ses représentations très réelles et mouvementées.
    Show book
  • Caravage - cover

    Caravage

    Victoria Charles

    • 0
    • 2
    • 0
    Le Caravage (Michelangelo Merisi) (Caravaggio, 1571 – Porto Ercole, 1610)
    Après avoir séjourné à Milan durant son apprentissage, Michelangelo Merisi arriva à Rome en 1592. Là, il commença à peindre en faisant preuve de réalisme et de psychologie dans la représentation de ses modèles. Le Caravage était aussi versatile dans sa peinture que dans sa vie. Lorsqu'il répondait à de prestigieuses commandes de l'Eglise, son style dramatique et son réalisme étaient considérés comme inacceptables. Le clair-obscur existait bien avant que le Caravage n'arrive sur scène, mais ce fut lui qui établit définitivement cette technique, obscurcissant les ombres et rivant son sujet à la toile par un rayon de lumière aveuglant. Son influence fut immense, et se propagea d'abord grâce à ses disciples plus ou moins directs. Célèbre de son vivant, le Caravage exerça une immense influence sur l'art baroque. Les écoles génoise et napolitaine s'inspirèrent de son style, et le grand développement de la peinture espagnole au XVIIe siècle était en liaison directe avec ces écoles. Dans les générations ultérieures, les peintres les plus doués oscillèrent toujours entre la vision du Caravage et celle de Carracci.
    Show book
  • Anthony Van Dyck - cover

    Anthony Van Dyck

    Natalia Gritsai

    • 0
    • 0
    • 0
    Peintre flamand du XVIIe siècle, Van Dyck eut une carrière aussi courte qu’éblouissante. Élève de Rubens, il devint vite le protégé des princes et des rois et fut le portraitiste attitré des plus grandes familles italiennes et anglaises. Au travers d’une composition rigoureuse, il confère à ses modèles dignité, grandeur et spiritualité. Dames fières, seigneurs caracolant sur leur cheval, Van Dyck s’entend à rendre l’élégance nonchalante et l’ennui d’une société raffinée. Peintre baroque aux inflexions chatoyantes, il joue d’une palette légère et nuancée et restitue avec la plus grande virtuosité les étoffes de velours, de satin et de soie.
    
    Van Dyck est considéré comme le fondateur de l’École anglaise du portrait. Il influença Lely, Dobson, Kneller et surtout Reynolds et Gainsborough, ainsi que les peintres français du XVIIIe siècle.
    Show book