Join us on a literary world trip!
Add this book to bookshelf
Grey
Write a new comment Default profile 50px
Grey
Subscribe to read the full book or read the first pages for free!
All characters reduced
Félix Vallotton - cover

Félix Vallotton

Nathalia Brodskaïa

Publisher: Parkstone International

  • 7
  • 69
  • 0

Summary

Félix Vallotton, né à Lausanne le 28 décembre 1865 et mort à Paris le 29 décembre 1925, est un artiste peintre, sculpteur et graveur sur bois Suisse, naturalisé Français en 1900. 
En une dizaine d’années, Vallotton parvient à se faire un nom auprès de l'avant-garde parisienne. Sa renommée devient internationale grâce à ses gravures sur bois et à ses illustrations en noir et blanc qui font sensation.
 Il expose régulièrement à Paris,  et dans le reste de l’Europe.
 Il épouse en secondes noces Gabrielle Rodrigues-Henrique, filles et sœur des Bernheim-Jeune, marchands d'art parisiens réputés. Il parvient à s'imposer en bénéficiant de l'aide efficace de son frère Paul, qui dirige à Lausanne la succursale de la galerie Bernheim-Jeune.
Vallotton est un formidable peintre, de la femme et en particulier ; ses nus sont aussi sensuels que ceux d’Amedeo Modigliani. 
Il a été inhumé au cimetière du Montparnasse en 1925.
Available since: 06/27/2013.
Print length: 228 pages.

Other books that might interest you

  • Descente aux plaisirs - Souvenirs d'une bouteille - cover

    Descente aux plaisirs -...

    Jean-Pierre Coffe

    • 0
    • 0
    • 0
    Ce monologue, ponctué de musiques, met en scène une bouteille qui raconte sa vie et son grand amour pour son vin, un rouge, et sa secrète attirance pour les blancs… L'action se déroule dans une cave bien entretenue, la cave d'un homme de qualité.Jean-Pierre Coffe est à la fois l’auteur et l’interprète de La Bouteille, ce personnage qui, de moments de tendresse en moments de colère ou de joie, va nous raconter sa vie : naissance, rencontre, amour, rupture, jalousie, bonheur, amitié, vieillesse... une bouteille profondément humaine, fragile, touchante et attachante.
    Show book
  • L'Art baroque - cover

    L'Art baroque

    Victoria Charles, Klaus Carl

    • 0
    • 0
    • 0
    La période baroque s’étend du début du XVIIe siècle au milieu du XVIIIe siècle. Réponse des artistes à l’exigence de grandeur solennelle prônée par l’Église catholique de l’après concile de Trente, l’art baroque, par sa monumentalité et son emphase, séduisit les grandes cours européennes. L’architecture est, sans aucun doute, parmi les arts, celui qui laissa le plus de traces dans toute l’Europe, parsemant le continent de magnifiques églises et palais baroques, à la hauteur de la puissance de ses commanditaires. Le Bernin, pour l’école du Sud, et Rubens, pour celle du Nord, représentent à eux seuls l’importance de cette période artistique. Riche d’une vision englobant les arts de la peinture, de la sculpture et de l’architecture, cet ouvrage offre un aperçu complet sur cette période passionnante de l’histoire de l’art.
    Show book
  • La Renaissance du Muralisme Mexicain 1920-1925 - cover

    La Renaissance du Muralisme...

    Jean Charlot

    • 0
    • 0
    • 0
    La peinture mexicaine n'est devenue internationalement reconnue qu’au début du 20e siècle. Ce fut le mouvement muraliste, à partir des années 1920, fortement lié à la révolution mexicaine de la décennie précédente, à partir de laquelle de grands artistes comme José Clémente Orozco (1883-1949), David Alfaro Siqueiros (1896-1974) et Diego Rivera (1886-1957) ont émergé. Rarement l'art a été plus politique. Les muralistes mexicains érigent sur les murs des bâtiments les plus divers, l'histoire de cette nation si agitée, faites de sang, de cris, de fureur et d’une immense espérance dans la vie.
    Show book
  • Salvador Dalí et œuvres d'art - cover

    Salvador Dalí et œuvres d'art

    Victoria Charles

    • 0
    • 0
    • 0
    Dalí, Salvador (Figueras, 1904 – Torre-Galatea, 1989)
    Peintre, artiste, créateur d’objets, écrivain et cinéaste, il est connu du public comme un des représentants majeur du surréalisme. Buñuel, Lorca, Picasso, Breton… : ces rencontres constituent autant d’étapes dans la carrière de Dalí. Réalisé avec Buñuel, le film Un chien andalou marque son entrée officielle dans le groupe des surréalistes parisiens où il rencontre Gala, la femme d’Éluard, qui deviendra sa compagne et son inspiratrice. Entre cet artiste éclectique et provocateur et les surréalistes parisiens, les relations se tendront progressivement à partir de 1934 jusqu’à la rupture avec Breton, cinq ans plus tard. Pourtant, l’art de Dalí relève bien de l’esthétique surréaliste dont il a conservé le goût pour le dépaysement, l’humour et l’imagination.
    Show book
  • Puvis de Chavannes - cover

    Puvis de Chavannes

    John La Farge, Arsène Alexandre

    • 0
    • 0
    • 0
    Pierre Puvis de Chavannes, le 14 décembre 1824 et mort le 24 octobre 1898, est un peintre français, considéré comme une figure majeure de la peinture française du XIXe siècle. Puvis de Chavannes réalise de grands décors muraux : au palais Longchamp à Marseille (1867-1869), à l'hôtel de ville de Poitiers (1870- 1875), à l'hôtel de ville de Paris (1887-1894), à la Bibliothèque publique de Boston (1881-1896), le Panthéon de Paris, où il traite de la vie de Sainte Geneviève (1874-1878) et (1893-1898) ; l'escalier du musée des beaux-arts de Lyon (1884-1886) avec le Bois sacré ; et enfin le grand décor de l'amphithéâtre de la Sorbonne à Paris (1886-1889), qui développe le thème du Bois sacré. Chacun de ces décors donne lieu à des études, copies, répliques, cartons préparatoires qui popularisent cette œuvre décorative immense. Il conquiert l'admiration d'une génération entière, influençant non seulement les idéalistes tels qu’Odilon Redon, Henri Martin, mais aussi les Nabis, Paul Gauguin, Georges Seurat, Maurice Denis, et Pablo Picasso .En 1890, ilfonde avec Jean-Louis-Ernest Meissonnier, et Auguste Rodin la Société nationale des beaux-arts.
    Show book
  • Gustave Courbet - cover

    Gustave Courbet

    Georges Riat

    • 0
    • 0
    • 0
    Gustave Courbet
    (Ornans, 1819 – La Tour de Peilz, Suisse, 1877)
    Ornans, sa ville natale, se situe près la ravissante vallée du Doubs, et c'est là que jeune garçon, et plus tard en tant qu'homme, il acquit l'amour du paysage. Il était par nature révolutionnaire, un homme né pour s'opposer à l'ordre
    existant et affirmer son indépendance ; il possédait la rage et la brutalité qui font le poids d'un révolutionnaire en art comme en politique. Et son esprit de révolte se manifesta dans ces deux directions.
    Il s'installa à Paris pour étudier l'art. Toutefois, il ne se fixa pas à l'atelier d'un maître influent en particulier. Dans sa province natale déjà, il n'avait pas cherché à se former à la peinture, et préférait maintenant étudier les chefsd'oeuvre exposés au Louvre. Au début, ses oeuvres n'étaient pas assez caractéristiques pour susciter une quelconque opposition, et elles furent admises au Salon. Puis il produisit L'Enterrement à Ornans, qui fut violemment pris d'assaut par les  ritiques : «Une mascarade de funérailles, six mètres de long, dans lesquels il y a plus motif à rire qu'à pleurer ». En réalité, la véritable offense des tableaux de Courbet était de représenter la chair et le sang vivants ; des hommes et des femmes tels qu'ils sont vraiment, et faisant vraiment ce qu'ils sont occupés à faire – non pas des hommes et des femmes dépourvus de personnalité et idéalisés, peints dans des positions destinées à décorer la toile. Il se défendit en disant qu'il peignait les choses telles qu'elles sont, et professa que la vérité vraie devait être le but de l'artiste. C'est ainsi que lors de l'Exposition universelle de 1855, il retira ses tableaux du site officiel et les exposa dans une cabane en bois, juste à côté de l'entrée, arborant l'intitulé en majuscules : «Courbet – Réaliste ».
    Comme tout révolutionnaire, c'était un extrémiste. Il ignorait délibérément le fait que chaque artiste possède sa propre vision et sa propre expérience de la vérité de la nature ; et il choisit d'affirmer que l'art n'était qu'un moyen de représenter objectivement la nature, dénué d'intentions, et non une affaire de choix ou d'arrangement. Dans son mépris pour la beauté, il choisit souvent des sujets que l'on peut sans mal qualifier de laids. Il possédait néanmoins un sens de la beauté doublé d'une aptitude aux profondes émotions, qui transparaît tout particulièrement dans ses marines. Il se révéla être un peintre puissant, au geste ample et libre, utilisant des couleurs sombres en couche épaisse, et dessinant ses contours avec une fermeté qui rendait toutes ses représentations très réelles et mouvementées.
    Show book